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Face aux attaques de la direction, la Cgt du groupe Carrefour riposte !


La CGT du Groupe Carrefour, (hypermarchés, supermarchés, entrepôts, proximité, banque) est né de la volonté de réclamer un statut collectif unique pour tous les salariés du groupe et de lutter ensemble contre la politique antisociale de la direction. 

Nous appelons les salariés à se mobiliser le jeudi 7 décembre 2017 devant le siège Carrefour France de Massy 

Décomplexé, le nouveau PDG Alexandre BOMPARD est arrivé en conquérant, sans cacher ses intentions. Au service de la finance, pour lui, seule la rentabilité compte.  

Depuis, il a perdu un peu de sa superbe en reportant au mois de janvier (après les fêtes de fin d’année et les soldes) l’annonce de son plan drastique de peur de mouvements sociaux, ce qui démontre le niveau d’attaque prévu dans ce plan. 

Pas question pour la Cgt de se laisser berner par cette stratégie. Le 7 décembre 2017 devant le siège Carrefour à Massy, mais aussi tout au long du mois de décembre devant les magasins (Hypermarchés et Supermarchés), la CGT dénoncera par toutes formes d’actions, cette politique néfaste pour les salariés et les clients, destinée uniquement à enrichir les gros actionnaires. 

La liste des attaques est longue. Sans une forte riposte, la direction va s’en donner à cœur joie ! 

- Cessions de magasins (Hypermarchés et supermarchés) : Le PDG ne s’interdit rien en matière de cessions, même celle des Hypers jugés non rentables. 

- Passages en franchise et à la location gérance : Que ce soit dans la Proxy, dans les Supermarchés et même dans les Hypermarchés, la politique de « franchise » va s’intensifier. 

- Restructurations des sièges et robotisations massives des entrepôts : Restructuration c’est un bien joli mot pour désigner en réalité la suppression de nombreux postes. 

 - Réduction de personnel : Que ce soit dans les Hypermarchés, les Supermarchés, les entrepôts et les sièges, la politique menée par la direction en termes de diminutions des heures travaillées et de réduction d’effectif va s’amplifier. On redoute la suppression de + de 5000 postes dans le groupe. 

- Surcharge de travail : dans toutes les enseignes du groupe les conditions de travail se dégradent et nous ne sommes plus en capacité de fournir un service digne de ce nom aux clients 

- Salaire : Alors que les dividendes reversés aux actionnaires explosent, alors que les rémunérations des différents PDG depuis des années sont une véritable provocation, nos salaires ne nous permettent pas de vivre dignement. 

-Travail du dimanche : Avec l’aide plus ou moins assumée d’autres organisations syndicales, la direction amplifie et accélère sa politique d’ouverture des magasins le dimanche.  





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